vendredi 7 janvier 2011

Un très joli site internet

Les Passeurs...

Oasis de Paix, d'Amour et de Lumière dans un monde en profonde mutation.

http://www.lespasseurs.com/


Il n'y aura de cesse aux maux de l'espèce humaine, avant que, soit l'espèce de ceux qui philosophent droitement et en vérité n'accède au pouvoir politique, soit ceux qui sont puissants dans les cités, par quelque grâce divine, ne se mettent réellement à philosopher.
-Platon

Un texte issu de ce site ci-dessous


L’Image que Tu Vois
Publié le 3 janvier 2011 par Arcturius

Dieu a dit :
Tu participes à la vie, et tu observes. Tu es le veilleur et tu t’observes.
Lorsque tu es en colère, tu crois que quelqu’un t’a mis en colère, mais la colère n’est qu’une carte que tu joues.

La colère la plus répandue, c’est la vanité. Cette contrariété est issue de l’ego qui dit : ‘‘Comment osent-ils ? Ils ne peuvent me faire çà ; ils ne peuvent pas dire cela de moi ou m’ignorer ainsi ou me dédaigner de la sorte. Je ne les laisserai pas faire.’’
Cette colère vient d’un manque de sens de soi. Tu insistes pour qu’autrui te donne ce que tu ne te donnes pas à toi-même. Et ainsi, lorsque que quelqu’un te parle de travers, tu t’emportes avec la conviction qu’il doit se rétracter, qu’il doit retirer ses paroles, et même retourner son manque de considération contre lui-même. Tu insistes. ‘‘Je ne les laisserai pas faire’’ Dis-tu. ‘‘Il ne faut pas me prendre à la légère. Je suis une personne. Ils n’ont pas le droit.’’

Pourtant tu étais ton propre offenseur. Maintenant tu juges ceux qui ne t’ont pas donné l’hommage auquel tu tiens tant. En redressant ce que tu perçois comme un tort, tu te ridiculises. Tu te ridiculises et tu tombes dans une futile colère. Tu te bas contre toi-même, contre l’image que te renvoie le miroir et qui te rend furieux. Tu aimes à penser que tu ne fais que te défendre, alors que c’est ton égo qui est piqué au vif. L’ego te souffle à l’oreille que tu dois te défendre. ‘‘Riposte’’ dit la colère.

On dit que la beauté se trouve dans l’œil de celui qui regarde. De même, l’offense se trouve dans l’œil de l’offensé.

Avant tout, tu n’as nul besoin de l’estime d’autrui. Estime ou mépris ne signifient pas grand-chose. On en trouve à la pelle. L’estime et le mépris sont illusoires. Porte à toi-même assez de considération pour ne pas te laisser attraper par ce qui ne te concerne pas vraiment.

Prend l’exemple d’un chargé de clientèle qui ne te connaît pas du tout et qui t’offre un service misérable, devenant ainsi comme un ennemi à tes yeux. Mais quel rapport y a-t-il entre toi et son service déplorable pour que tu t’offusques ainsi ? S’il ne sait pas, ou s’il ne cherche pas à mieux savoir, qu’est-ce que cela à affaire avec toi qui n’est qu’une voix au téléphone ? L’autre aussi n’est qu’une voix au téléphone, quelqu’un qui est assis quelque part et qui ne fait pas très bien son travail.
Pourquoi prendre ça mal ? Dois-tu absolument enfiler tes gants de boxe ? Pour quel gain ? Ta colère ne montre aucune force ; elle montre de la faiblesse. La colère est ta faiblesse, pas celle d’un autre. Lorsque quelqu’un t’offre un service déplorable, tu n’es pas tenu d’offrir en retour une réaction déplorable.

Un chargé de clientèle, qui représente lui-même ou une société, n’est pas le résultat de ce que tu as fait ou de ce que tu n’as pas fait. Lorsque tu t’emportes, indigné et offusqué, est-ce que tu Me représentes ? Fais-tu bien ton travail ? Comment Me représentes-tu ?

Plutôt que de t’abaisser, élève-toi. Au lieu de promouvoir la guerre, promeus la paix. Tu n’es pas obligé de poursuivre les conflits. Tu ne t’abaisses aucunement en t’élevant. Pensais-tu t’abaisser ce faisant ?

Tu n’es pas tenu de t’acharner au téléphone avec un chargé de clientèle ni même tenu de lui raccrocher au nez. Tu peux laisser courir.

Je parle des chargés de clientèle car il est si facile de voir que, vraiment, ils n’ont rien à voir avec toi. Mais cela vaut aussi pour ceux qui te sont plus proche, même si c’est plus difficile à voir.
Néanmoins, l’insatisfaction des autres leur appartient, ton insatisfaction est tienne.
Desserre tes poings, bien-aimé.

Traduit par Jean-Christophe.
Page originale : http://www.heavenletters.org/the-image-you-see.html
© 2011, Les Chroniques d'Arcturius.

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