dimanche 2 septembre 2012

Un cancer du sein riche en enseignement


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TIRÉ DE MA RUBRIQUE DANS NÉOSANTÉ MAGAZINE

Les médias dominants nous font peur de manière permanente en insistant sur le fait qu'une femme sur trois sera touchée par un cancer du seinavant l'âge de soixante ans. Malgré les centaines de milliards investis depuis cinquante ans, la recherche en cancérologie fait du sur-place. Pourtant, des guérisons spontanées de cancer existent, en nombre beaucoup plus important que vous ne l'imaginez. Lisez cet article, et partagez-le ! Le cancer du sein n'est ni une fatalité, ni une condamnation à mort.

Bonjour,

Depuis bientôt un an, j'ai pris l'initiative de vous envoyer à chaque début de mois un article tiré de la rubrique que j'anime dans le magazine Néosanté. Je le publie toujours avec quelques mois de retard par rapport à la publication officielle, histoire de respecter l'éditeur et les abonnés payants de cette revue que je trouve remarquable.

En même temps, je ne peux m'empêcher de poursuivre ma mission d'enseignement et d'éveil des consciences au plus grand nombre possible. Comme j'estime que l'argent ne doit pas être un obstacle à l'accès aux connaissances de base, vous êtes près de 25.000 personnes à recevoir mes articles au début de chaque mois.

Si cet article vous inspire, si vous pensez qu'il peut faire du bien à votre entourage, merci de prendre le temps de le transmettre à ceux qui vous sont chers. Ma motivation, en vous écrivant, c'est de vous donner un maximum d'outils pour que vous soyez autonome dans la gestion de votre capital santé ! Alors partagez, sans modération, ces informations précieuses pour la santé de tous !

Si vous avez raté mes précédents articles, sachez qu'ils se trouvent tous sur mon site Internet. En voici la liste :
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néosanté11-c1.pngL'article de ce mois, intitulé « Un cancer du sein riche en enseignements » a été publié dans le numéro 11 du magazine Néosanté, paru en avril 2012. Pour ceux qui ne le savent pas, ce magazine consacré entièrement au sens biologique et symbolique des maladies est disponible tant en version papier qu'en version électronique, partout en francophonie (y compris le Québec).

Financée exclusivement par les abonnements et les ventes dans des centres spécialisés (voir liste des points de vente sur leur site), cette revue ne contient aucune publicité. Un choix que je salue pour son audace, mais aussi pour sa pertinence.

Pour répondre aux questions qui m'ont été posées à plusieurs reprises, je n'ai aucun intérêt financier dans ce magazine et je fais la publicité pour celui-ci tout-à-fait bénévolement. Pour ceux qui me connaissent depuis longtemps, vous savez qu'un de mes buts, c'est que l'information alternative de qualité circule le plus largement possible pour qu'un jour, tout le monde soit maître de sa santé et de son bien-être, de manière autonome et consciente. Comme nous ne pouvons pas compter sur les médias dominants pour nous encourager à la souveraineté individuelle, il est essentiel que des médias alternatifs comme Néosanté existent. Mais ils ont besoin d'être soutenus par nous, par vous.

C'est la raison pour laquelle je vous encourage, Jean-Loup, à vous abonner et à abonner vos amis

Je compte sur vous pour relayer cet article et inciter vos amis et connaissances à s'abonner. Au plaisir de partager avec vous cette grande aventure !
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Jean-Jacques Crèvecœur
Montréal
www.jean-jacques-crevecoeur.com

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UN CANCER DU SEIN RICHE EN ENSEIGNEMENTS
(ARTICLE TIRÉ DU NUMÉRO 11 DE NÉOSANTÉ)
Depuis deux mois, j’ai entrepris de vous partager pourquoi et comment j’avais décidé de vérifier la validité des travaux du docteur Ryke Geerd Hamer depuis que j’avais eu connaissance de ses travaux en 1988. Scientifique de formation, spécialisé dans le domaine de l’épistémologie des sciences, je ne suis pas du style à croire naïvement tout ce qu’on me dit, tout simplement parce que la thèse présentée paraît séduisante ou alternative. Dans le monde des thérapies parallèles, j’ai entendu tellement d’âneries déguisées en explications pseudo-scientifiques que j’ai appris à ne pas m’emballer lorsque je découvre une nouvelle approche de la santé. C’est donc en confrontant les théories de Hamer à des faits, à des observations, à des témoignages de première main que je me suis fait, petit à petit, une opinion précise de son travail. Sachant que toute conclusion est forcément provisoire, jusqu’à preuve du contraire…

Quand éduquer son enfant devient un calvaire

Début novembre 1998. À l’époque, je vis dans un petit village de l’Est du Brabant Wallon, en Belgique. Grâce à l’école du village, j’ai fait la connaissance de parents d’enfants qui fréquentent les mêmes classes que mes trois filles. Avec certains d’entre eux, des affinités se sont créées et je bavarde volontiers avec l’un ou l’autre à la sortie des cours. Nous nous rendons aussi des services mutuels, lorsque l’un d’entre nous n’est pas disponible pour assumer ses obligations parentales. C’est ainsi qu’une amitié est née avec Sylvie, femme courageuse et dynamique de quarante-trois ans, durement éprouvée par le décès de son mari, deux ans auparavant, suite à un cancer du foie. Sa fille Morgane était dans la classe de ma plus jeune fille lorsque le drame est arrivé.

Un soir, Sylvie vient sonner à ma porte. Elle est effondrée. Sa vie de mère monoparentale est devenue un véritable enfer. De plus, elle ressent depuis quelques mois une grosseur suspecte au sein gauche. « Jean-Jacques, me dit-elle, je suis extrêmement inquiète. J’ai vraiment l’impression d’être une très mauvaise mère pour Morgane. J’ai besoin de ton aide et de tes conseils… » Et elle me raconte qu’elle a perdu le contrôle sur les réactions de sa fille. Étant veuve et seule avec sa fille de six ans, elle se voit dans l’obligation de jouer à la fois le rôle de mère et le rôle de père. Mais chaque fois qu’elle dit NON à sa fille, chaque fois qu’elle lui pose une limite, Morgane fait des crises d’une intensité inouïe, tapant des pieds avec force, hurlant avec violence et se frappant la tête contre les murs. À un point tel qu’à plusieurs reprises, elle en a perdu connaissance. Quand je lui demande comment elle vit cette situation, elle me répond : « Je suis désespérée et inquiète pour ma fille. Déjà qu’elle manque de père depuis la mort de mon mari, mais en plus, je suis vraiment une très mauvaise mère. Je crains donc que mon enfant manque de tout ce dont elle a besoin… » me répond-elle.

À travers ses phrases, je comprends tout de suite l’origine de la grosseur dans son sein gauche. Comme le décrit Hamer, lorsque la femelle mammifère craint que son petit manque de nourriture, elle va multiplier le nombre des glandes mammaires et en modifier les performances, les rendant capables de produire un lait infiniment plus riche que le lait maternel ordinaire. Cette réaction naturelle du corps est caractérisé par la médecine officielle de cancer du sein. Pour Hamer, comme il l’énonce dans sa cinquième loi, il s’agit d’un « programme bien-fondé de la nature pour assurer la survie en situation d’urgence. » C’est bien ce que vit Sylvie : elle est convaincue que son jeune enfant est en train de manquer de tout (à la fois d’un père vivant et d’une bonne mère), il faut donc qu’elle compense en urgence ce manque essentiel et vital en développant, grâce à son cancer glandulaire du sein gauche1, une capacité à sur-nourrir sa fille…

Comme Sylvie est davantage préoccupée par les problèmes comportementaux de sa fille, je n’insiste pas sur sa grosseur au sein et je choisis de me centrer sur le véritable problème (comment éduquer son enfant adéquatement) plutôt que sur la conséquence de ce problème (la tumeur cancéreuse). Comme le disait Hippocrate, lorsque tu soignes une maladie, ne cherche pas seulement la cause, mais la cause de la cause. Je donne donc à Sylvie des conseils très précis, de manière très directive. Pendant deux heures, je résume à Sylvie ce que j’enseigne dans les formations de parents que je dispense depuis plusieurs années. Et je termine en lui disant : « Si tu appliques mes conseils à la lettre, tu verras, ta fille retrouvera son équilibre et vous connaîtrez à nouveau l’harmonie. » En lui disant cela, je suis convaincu de la réussite de ma stratégie, car elle se base sur mes propres expériences à la fois personnelles et professionnelles.

Quelques semaines plus tard, Sylvie interpelle ma femme pour lui confirmer que mes conseils ont superbement bien fonctionné. Sa fille ne fait plus aucune crise, l’harmonie s’est réinstallée entre elles et elle se sent à nouveau comme une bonne mère…

Une guérison spontanée aux allures inquiétantes

Mars 1999. C’est la première fois que je revois Sylvie depuis notre rencontre de l’automne précédent. Nous nous croisons « par hasard » dans l’agence bancaire du village. Sylvie manifeste une grande agitation. Elle vient de retirer de l’argent de son compte pour filer à l’hôpital en urgence : elle m’annonce en panique qu’elle doit se faire enlever le sein gauche au complet pour cause de cancer ! Je me souviens alors de sa grosseur au sein gauche que j’avais choisi de ne pas évoquer avec elle. Me rappelant ce qu’elle avait dit à ma femme également, je pensais sincèrement que tout était rentré dans l’ordre. L’accalmie avec sa fille aurait-elle été de courte durée ? Sa grosseur au sein avait-elle une autre origine ? Tout à coup, je suis pris d’un doute. Je lui demande alors de me préciser le diagnostic médical qui lui a été présenté. Elle me répond qu’elle a consulté quelques semaines auparavant et qu’on lui a découvert des microcalcifications, raison pour laquelle elle doit subir en urgence une ablation complète du sein…

Je sursaute en entendant cela. Puis je lui dis : « Mais c’est une excellente nouvelle que tu aies des microcalcifications ! Allons plutôt nous chercher une bouteille de champagne qu’on fête ensemble ta guérison. » Elle me regarde abasourdie. De mon côté, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et je l’emmène illico dans mon bureau. Je sors un des livres de Hamer et je lui montre le passage qui décrit les microcalcifications comme le résultat de la désagrégation d’une tumeur glandulaire au sein. Je lui explique que pendant l’automne, elle a probablement démarré une tumeur cancéreuse qui s’est guérie d’elle-même depuis qu’elle ne s’inquiète plus pour sa fille. Et j’ajoute : « Ces microcalcifications en sont la preuve formelle. Ce que tu as dans ton sein, c’est tout simplement comme du lait caillé. »

Finalement, Sylvie s’est quand même rendue à l’hôpital, mais a postposé l’opération jusqu'à plus ample information. Elle a exigé de son oncologue qu’il lui fasse une biopsie pour mettre en culture les cellules prélevées. Trois semaines plus tard, l’hôpital la rappelait pour annuler l’opération : aucune activité maligne n’avait été détectée au niveau des microcalcifications.

Aujourd’hui encore, je repense à ce concours de circonstances qui a permis à Sylvie de garder sa belle poitrine intacte. Si elle avait subi un dépistage en novembre, son cancer en phase active aurait été découvert - elle serait rentrée dans la machine infernale de l’opération, de la chimiothérapie et de la radiothérapie. Alors que la simple résolution de son problème parental suffisait à la guérir. Si elle ne m’avait pas croisé « par hasard » une heure avant d’entrer à l’hôpital, on lui aurait enlevé un sein parfaitement sain à cause de l’ignorance de son oncologue. Conclusion de cet épisode : le dépistage systématique n’est pas nécessairement synonyme de prévention. Parfois, c’est même le contraire qui se passe. Dans le cas de Sylvie avec qui je suis encore en relation aujourd’hui, cette aventure s’est bien terminée. Ce n’est pas le cas pour toutes les femmes. Nous verrons cela le mois prochain.

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